Qui règne par l’argent périra par l’argent
Comme une Son, venu des ménages américains. Un Son lointain qui trace son chemin depuis bientôt un an. Un Son insignifiant au départ
et qui fais trembler le monde de la finance aujourd’hui, dans son vacarme on entend « ce soir on vous met, ce soir on vous met le feu »
« Mais wall street nous a mis la fièvre, pendant des mois wall street a mis la fièvre des bourses »
Un Son mélodieux composé par le SUBPRIMES et les ACTIONS TOXIQUES.
Quel tandem formidable chevauchant les pertes à cout de milliard et le résultat est encore plus extraordinaire ; au feu le bateau
finance brule, les rats quittent le bateau. Le seul canot de sauvetage veut être accaparé par les actionnaires, les salopards.
Mon dieu dans cette débâcle, n’oublions pas les pays pauvres et surtout
les répercutions de cette crise sur leurs vie misérable.
Allons dont nous avons autre chose faire que de penser a des gens qui sont d’office déjà condamné à mourir de faim.
Je n’entends pas, ne parle pas et ne vois pas le cri de ces bienheureux dans la misère. Par contre je n’entends plus le son de mes
sous, je ne parle que de mes sous et je ne veux voir que mes sous au panthéon de la bourse WALL STREET.
Dans l’embarras souvient toi d’où tu viens, de la FED
Je ne jure que par l’argent et pour l’argent car mon argent vient de la FED
Mon salut réside dans la FED
Il n’y a pas de plus grand que la FED
Louons la FED à sa juste valeur
Car il n’y à que la FED qui est FED
Au feu les grands argentiers la maison de la bourse qui brule, ce n’est pas moi qui a mis le feu c’est mon ami SUBPRIMES.
Prions le dieu des finance qu’il nous vienne en aide (biensur avec la FED et la BCE) encore avec l’argent du contribuable, oh
merde.
Mes freres de sang et d’argent cela vat de soie. Retrouvons nous dans le temple de la finance
Devant l’hotel des sacrifices pour honoré le dieu finance par le sacrifice des petit épargnants pour la continuité de notre vie dans
le luxe et l’opulence, il en vat de notre vie.
En finalité nous allons tous ressortir de cette histoire avec une nouvelle virginité financière avec quelques milliers de dollar en
moins, quel sacrilège pour nous.
Les salaries, épargnants, électeurs de bas zone, sans distinction ni de race ni de religion tous ces mécréant ne peuvent pas vivre
sans nous, car aujourd’hui nous sommes les dieux de ce monde ; le monde de la finance, ce monde des ténèbres aussi sombre que les abymes et en même temps dégageant un rayonnement aussi
novice que de la radio active.
Courage mes frères tant qu’on n’est pas mort le pire reste toujours à venir.