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  • : Le blog de harent le varent
  • : Ces trois regles signifient littéralement : « Ne vois pas », « N'entends pas », « Ne parle pas ». Plus précisément, la doctrine citoyenne signifient « je ne dis pas ce qu'il ne faut pas dire », « je ne vois ce qu'il ne faut pas voir », et enfin « je n'entends ce qu'il ne faut pas entendre »
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je ne vois pas, ne parle pas et n'entend pas. je ne suis plus rien sinon je mexprime, alors voila l'occassion.

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 22:36
Le gouvernement viol les Citoyens

~~Les politiciens du gouvernement violent institutionnellement le peuple, par d’intenses humiliations, mensonges, manque de respects, etc.

C’est le sort infligé aux Français par les élus du président, cela est un mal inévitable. Apres l’élection d’un président, chaque mois subit sa peine pour le peuple.

Les citoyens sont devenus les victimes de l’incompétence de leur gouvernement, incapable de régler les vrais problèmes de la Nation.

Les hommes politiques fuient la réalité des problèmes en se transforment en marchant de rêves. Pour autant la souffrance du peuple n’est pas qu’une illusion.

Pour le chef du gouvernement, les citoyens crient famine pour rien, alors que les choses pourraient être pires, comme laisser pour mort après un viol. Pour lui, les citoyens peuvent encore supporter plus que ces quelques attouchements sexuellement administratifs.

Et le mal persiste ; insultes, brimades du peuple au quotidien, un harcèlement certain.

C’est la répétition de ces méfaits qui confortent d’harcèlement fiscal suivi d’un viol moral certain. Le gouvernement, après avoir viol son propre peuple, le vend comme esclave sexuel pours des financiers et industriels.

Les élus restent muets sur le sujet et se replient sur eux même. Ils se coupent de la société par leur complicité dans ce crime à grand échelle. Excluant de la sorte leur devoir de protection de la population. Ils se complaisent dans leur sacrement d’hypocrite démocratique.

La justice admet du bout des lèvres ces attouchements sexuels, requalifié et agression sexuel. Réfugié dans leur forteresse, une assemblée sénatoriale du congrès. Les élus du peuple considèrent que ce viol forge le caractère du peuple à l’apprentissage de la docilité. Cet argument les conforte dans leur bonne conscience.

Dans les médias, le terme de viol administratif n’est pas prononcé, « ne pas nommer, ce qui est la règle, ce qui est normal, permet de nier l’existence du phénomène ».

Le pouvoir judiciaire reconnait la responsabilité des hommes politiques dans ce viol et du suicide social du concitoyen par un harcèlement fiscal.

Depuis des années, le peuple fait l’objet de ces violences gratuites et sadiques. Les citoyens se pendent avec leurs espoirs, bien promis. Les gouvernements successifs sont peu sensibles au sujet, bien au contraire, c’est à celui qui fera le plus de victimes.

Les élus votent des lois qui prennent des formes sournoises de viol constitutionnellement légal. Le législateur l’égalise se viol.

Les médias et le net sont instrumentalisé pour faire un maximum de victimes dans un las de temps réduit.

Le peuple se tait, il a peur, il se sent coupable, il est victime de ses élus. Et quand il raconte ses élus pour les sensibiliser à leur souffrance, il n’obtient que des fins de non recevoir. Les politiciens ne veulent pas prendre en compte ces doléances puisque ce sont eux les violeurs, tortionnaires.

Les faits sont avérés, ils le reconnaissent, cette maltraitance morale par ce viol institutionnel a provoqué des troubles de sociabilité dans la population.

Des générations d’hommes et de femmes sont traumatisées, un gâchis humanitaire et criminel. Par culpabilité, la plus tard des citoyens cachent cette soumission non désiré. Tout cela se passe sous les yeux de la justice. Et tranquillement les élus continu leur méfaits, ils trouvent toujours un bon prétexte pour justifier leur agression. Ils disent ne pas avoir le choix, ce n’est pas de leur faute, les citoyens encaissent en silence pour l’instant.

Le citoyen est lié à son bourreau, la victime se sacrifie au bon vouloir de son agresseur.

Et on se prend à rêvé :

En réponse aux agressions des élus, les citoyens doivent punir moralement leurs élus. Les électeurs doivent décapiter par le vote les élus violeurs.

Mais tous les élus ne sont pas des violeurs, comme tous les citoyens ne se sont pas fait enculé par les politiciens.

En disant cela, tout est dit !!!

Pas si sure, les choses ne sont pas aussi simple que cela. Nous ne pouvons pas passer sous silence, une forme d’acceptation de se viol par le peuple.

Dans la reconduite des élus à leurs postes, les citoyens encourage cette agression sexuel et ce harcèlement fiscal.

Le citoyen est-il atteint du syndrome de Stockholm ???

A force de les fréquenté, le peuple a fini par avoir de la sympathie pour son agresseur.

• le développement d'un sentiment de confiance, voire de compassion vis-à-vis de leurs politiciens violeurs.

• le développement d'un sentiment positif des violeurs politiciens à l'égard de leurs citoyens violés. • l'apparition d'une hostilité des violés envers la justice.

Soyons fou, le politicien serait-t-il atteint du syndrome de Lima ????

A force de violé le peuple, le politicien y a pris gout et le citoyen aussi, c’est pour cela que les politiciens ne sont pas près d’arrêter ce crime institutionnel et fiscal.

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