Vite et bien, tous ce qu’il faut savoir sur ce virus.
Le terrible virus de la grippe espagnole, qui avait fait entre 20 et 50 millions de
victimes dans le monde, peut d'ailleurs se vanter de bien d'autres filiations. «Tous les virus grippaux à l'origine de pandémies ou d'alertes pandémiques au XXe siècle proviennent du virus
H1N1 de 1918
le principal réservoir des virus H1N1 est aviaire, les oiseaux, et en particulier les
oiseaux sauvages, sont porteurs mais non sensibles à l'infection. Parallèlement, des souches de H1N1 ont circulé depuis cette date en permanence dans les espèces porcines et humaine. Chez
l'homme, ces virus H1N1 se sont transformés au fil du temps et ont été responsables de grippes saisonnières banales entre 1918 et 1957.
En 1957, coup de théâtre. Les virus H1N1 quittent brutalement la scène humaine. Ils
disparaissent complètement pour être cette année-là remplacés par une nouvelle souche, H2N2, à l'origine de la deuxième pandémie grippale du XXe siècle, apparue en Asie. «Le virus
A (H2N2) est nouveau, les anticorps issus des infections antérieures ne se révèlent d'aucune efficacité contre lui, car il est le résultat d'un réassortiment entre virus humains (H1N1) et
aviaires.
Les virus H1N1 ne réapparaîtront chez l'homme que vingt ans plus tard, en 1977,
génétiquement identiques à ceux de 1950.
Après 1977, ces virus H1N1 reprennent leur circulation hivernale classique dans l'espèce
humaine.
En 1998, un événement capital pour la suite va se produire chez des porcs
américains : un virus H1N1 porcin se recombine avec des souches aviaires et humaines.
Le virus H1/N1 est un virus mortel de la grippe de type A. Son nom se réfère à deux sous-types d’antigènes : l’hémagglutinine de
type 1 et la neuraminidase de type 1.
une recombinaison d’éléments génétiques provenant de quatre virus
différents soit un mélange de grippe porcine, de grippe aviaire, de grippe humaine A H1N1 et d’un autre virus de grippe porcine trouvée en Europe et en Asie…
il s’agit d’un mélange exceptionnel et jamais rencontré de séquences.
Cette nouvelle souche est particulièrement virulente car elle touche des hommes jeunes et en bonne santé ce qui veut dire qu’elle est
très pathogène et donc, à risque pandémique.
Ce virus est réapparu en 2009 sous une nouvelle forme génétique transmissible d’homme à homme.
L'épidémie grippale résultante a touché l'ensemble de la planète dans les mois qui ont suivi et a été qualifiée de pandémie par
l'OMS en juin 2009
Comment se protéger du virus
Se laver les mains régulièrement
Se laver les mains très fréquemment notamment en sortant des toilettes, avant de passer à table et en rentrant chez soi,
pour éviter une contamination. Utilisez du savon ou un gel antibactérien prévu à cet effet. En effet "chacun se passe la main sur la bouche en moyenne deux fois par heure. Les virus circulent
très facilement de cette façon".
Utiliser des mouchoirs jetables
Autre recommandation : utiliser des mouchoirs jetables, à usage unique. "Dans le cas des mouchoirs non jetables, les
germes se multiplient et circulent lorsqu'on se mouche".
Eviter les poignées de main
Les poignées de main seraient également à éviter. "Une personne sur deux sort des toilettes sans se laver les mains.
Eviter de serrer des mains est l'un des moyens les plus sûrs d'éviter la contamination." (…) "C'est d'ailleurs pour cela que Pasteur ne serrait jamais la main de personne". Changer d'habitudes
pour se saluer permettrait de réduire les risques de circulation de virus, selon lui.
Réduire les postillons
Les postillons sont aussi des transmetteurs de virus : "ils se projettent à 150 kilomètres/heure sur toutes sortes
d'objets. Or un virus peut rester en vie 24 heures sur un bouton d'ascenseur par exemple". Nettoyer ses lunettes et son écran d'ordinateur entre autres avec des lingettes.
Aérer les pièces
Ne restez pas dans un espace calfeutré et non aéré. Ainsi chez vous quand vous vous levez et/ou avant de vous coucher, pensez à ouvrir
en grand les fenêtres de la pièce à vivre et des chambres. Un logement correctement aéré est beaucoup plus sain que les autres.
Se faire vacciner
Le plus important les masques de respiration
Le vaccin contre ce virus.
Ce virus spécifique est sensible au Tamiflu (oseltamivir) et au Relenza (zanamivir) et les patients traités semblent bien réagir au
traitement.
Les vaccins antigrippaux contiennent généralement une forme morte ou affaiblie d'un virus circulant. Le vaccin prépare le système
immunitaire à défendre l'organisme contre une infection vraie. Pour que la protection conférée par le vaccin soit maximale, le virus qu'il contient doit correspondre relativement étroitement au
virus circulant de "type sauvage". Le virus H1N1 étant un nouveau virus, il n'entre actuellement dans la fabrication d'aucun vaccin.
Le principal ingrédient d’un vaccin est le microbe (ou antigène), tué ou atténué, contre lequel on veut protéger l’organisme. Il est fabriqué à partir de
bactéries ou de virus complets, de leurs constituants (polysaccharides, protéines) ou de leurs produits (toxines). Par différents procédés, ces microbes sont débarrassés de
leur capacité de produire la maladie, tout en conservant celle d’entraîner une réponse immunitaire.
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En plus des microbes, les vaccins contiennent de l’eau stérile ou un liquide salin ou protéinique qui sert de
solution de suspension. D’autres ingrédients sont présents en quantités minimes : agents de conservation, antibiotique, stabilisants, etc. En voici une liste non
exhaustive.
Les milieux de culture des
vaccins
Pour produire les vaccins, les laboratoires pharmaceutiques utilisent différents milieux
de culture. Ceux-ci permettent la multiplication en grand nombre de cellules, de bactéries et de levures. Les principaux milieux de culture sont des protéines bovines, des cellules d’embryons
de poulet, des oeufs embryonnés de poule, des cellules diploïdes humaines et des levures. Des traces de certaines protéines peuvent être présentes dans le produit
final.
Comment ça marche un
vaccin?
On injecte une petite partie d’un microbe dans le corps pour que le système immunitaire y
réagisse. Ce dernier fabrique alors des anticorps qui restent dans l’organisme et qui seront en mesure de le protéger contre une infection en cas d’exposition au virus, à la
bactérie ou à la toxine. On prévient ainsi des maladies comme la polio, la coqueluche, la rougeole, la varicelle, le tétanos, etc.
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Les adjuvants dans
les vaccins.
Les sels d’aluminium, utilisés depuis plus de 70 ans, sont ajoutés aux vaccins pour en
augmenter l’efficacité. Les vaccins contre l’hépatite B, la diphtérie et le tétanos, par exemple,
contiennent des sels d’aluminium. Ils permettent une réponse immunitaire plus forte et plus longue, tout en utilisant moins d’antigènes et un plus petit nombre de doses de vaccins. Chaque
dose contient moins de 1 mg de sels d’aluminium, une quantité considérée trop faible pour causer du tort à l’organisme, selon les autorités médicales. Les sels d’aluminium utilisés sont
les suivants :
Hydroxyde d’aluminium
Phosphate d’aluminium
Sulfate d’aluminium et de potassium
Les agents de conservation dans les
vaccins
Ces substances servent à éviter la croissance bactérienne dans le vaccin. Les principaux
agents de conservation sont les suivants :
Formaldéhyde
(Utilisé pour inactiver les microbes de certains vaccins pendant et après leur production. La purification l’élimine presque totalement du produit final.)
Phénol
2-phénoxyéthanol
Thimérosal
(Utilisé seulement dans les fioles multidoses du vaccin antigrippal.)
Antibiotiques : néomycine et polymyxine B
Les stabilisants dans les
vaccins
Les agents de stabilisation permettent de maintenir la qualité du vaccin durant son
entreposage. Les vaccins contiennent les principaux stabilisants suivants :
Albumine
bovine ou sérum bovin
Albumine
humaine
Gélatine
Glycine
Lactose
Sorbitol
Sucrose ou
saccharose
Polysorbates
20 ou 80 (Ils assurent l’homogénéité du produit.)
Une conspiration des firmes pharmaceutiques par ce virus
Il y a de forte chance que pendant une manipulation sur les différentes souches
de la grippe, des chercheurs d’une firme pharmaceutique ont créé la grippe A H1N1.
La poule aux œufs d’or était née. Une fois le
virus fabriqué en quantité, cela e été un jeu d’enfant de le lâché dans la nature. La propagation du virus a dépassé toutes les espérances et les alerte d’épidémie suivie de pandémie à fait le
reste.
La grippe saisonnière fait beaucoup plus de
victime et pourtant les gouvernements et les organismes internationale se mobilisent et mettent tout en place pour limité la propagation du virus. Les sommes colossal sont débloqué pour se
procurer les vaccins ;
Le gouvernement Français a commandé plus de 90
millions de doses à quatre laboratoires différents.
Il faut s’attendre que les gouvernements
repassent des commandes pour l’année prochaine ainsi de suite.
Une campagne de vaccination sans précédent a été
proposée par le gouvernement.
La population c’est empressé de se faire
vacciner. On comprend mieux pourquoi cette grippe est du pain bénis pour les firmes pharmaceutique.
De tout temps l’Homme n’a jamais pu éradiquer ou
n’a pas voulu éradiquer le virus de la grippe, ce qui implique que nous auront toujours besoin de vaccin contre la grippe.
Au file du temps nous sommes devenu dépendant des
vaccins pour et contre la grippe.
A chaque vaccin crée le virus se transforme, mute
et prend des vacances pour revenir de plus bel.
Le corps humain a perdu la faculté de combattre
le virus, il lui faut obligatoirement un vaccin composé du virus pour ce défendre. Le virus devient de plus en plus résistant, virulent et agressive. L’Homme devient de plus en plus fragile,
faible et peureux. Les firmes pharmaceutique riche et sans limite.
L’Homme n’a jamais sue contrôler la nature, il
court à sa propre perte pour une question de grosse soue.
Les êtres humains doivent laisser faire la nature
et respecter ces conditions, ne vous faite pas vacciner sans être atteindre par virus. Ne vous faites pas introduire une substance qui n’est pas sans risque dans votre organisme. Le corps humains
a tout ce qu’il faut pour ce défendre et si ce n’est pas le cas que la mort nous emporte.
Le AH1N1 c’est dans la poche !
Avec ce nouveau recueil, vous pourrez connaître le virus, vous protégez et savoir ces
modes de contamination, mais le plus important c’est d’avoir le choix de sauver votre vie ou pas.