Le Front national (FN) est un parti
politique français nationaliste, fondé en octobre 1972
et présidé, depuis lors, par Jean-Marie Le Pen. Son nom complet, à l'origine, était Front national pour l'unité française
(FNUF).
Situé à l'extrême droite de l'échiquier politique par la plupart des observateurs politiques, le Front national se définit comme issu de la droite nationale[1], populiste[2] et souverainiste[3], au même titre que de nombreux mouvements européens ; la majorité de ses dirigeants récuse l'appartenance du parti à l'extrême droite[4] (au sens du positionnement le plus à droite), comme la majorité des dirigeants de l'extrême droite française depuis Charles Maurras. Jean-Marie Le Pen a également évoqué son appartenance à l'« opposition nationale[1] ».
Le Front national compterait environ 75 000 adhérents à jour de cotisation en 2009 selon le site officiel du parti[5].
Jean-Marie Le Pen, né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), est un homme politique français d'extrême droite issu des courants poujadistes. Il est président du Front national[1] (FN) depuis sa création, en 1972.
Présent au premier tour des élections présidentielles de 1974, 1988, 1995, 2002 et 2007, il crée la surprise, le 21 avril 2002, en se qualifiant pour le second tour.
Jean Louis Marie Le Pen est le fils de Jean Le Pen, patron pêcheur, président de l'association des anciens combattants et conseiller municipal de La Trinité-sur-Mer, et d'Anne-Marie Hervé, couturière et fille de paysans originaires de Locmariaquer. Ses parents le surnomment « Jeanjean ». Sa famille est essentiellement originaire du département du Morbihan
- en juin 1984 : élu député européen ;
- de mars 1986 à juin 1988 : député de Paris lors des élections législatives (scrutin de liste proportionnel à un tour) ;
- en avril 1988 : candidat à l'élection présidentielle, il obtient 14,39 % des voix
- en mars 1992 : élu conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur ;
- en juin 1994 : réélu député européen
- en mars 1998 : réélu conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur ;
- en juin 1999 : réélu député européen
- en juin 2004 : réélu au Parlement européen dans la Circonscription Sud-Est.
- en juin 2009 : réélu au Parlement européen dans la Circonscription Sud-Est.
Le Pen a eu une carrière bien rempli, il a été la voix et la raison de million de Français.
Mais un parti politique qui ne se rénove pas, n’avance pas.
La nouvel génération ne se retrouve pas dans l’image de ce grand père, les discourt de Le Pen n’a pas su prendre le virage de la mondialisation et de la diversité.
A la barre de son paquebot FN, le capitaine Le Pen a fait échouer son bateau, pour ne pas avoir vue le vent tourné.
Les immigrés, si cela se trouve apportent plus a la France qu’on ne le pense. Le Pen aurait du éduquer son électorat. Les vrais problèmes de la France sont ailleurs, comme la mondialisation et les effets sur le commerce des pays émergents.
Pourtant le Président Le Pen garde son cap pour le pire de son parti à venir et le meilleur du passé.
Nous ne devons pas occulter que le vote des français risquent de surprendre.
S’il est vrai que Le Pen a mis le FN dans la lumière, il est vrai aussi qu’il est son bourreau.
On ne fait pas du neuve avec du vieux. On doit couper les vieux herbes, pour donner leurs
chances aux nouvelles pouces.
Que cela me fais plaisir ou pas, les électeurs de FN sont des Français comme les autres et on doit respecter leurs choix de vote de tous, dans un des pays de la diversité et de surcroit le pays
des doits de l’Homme.